Resumo de La Saga Des Chalenge De Normandie : Livre 12

Quels furent les points faibles de ces travaux ? Certainement la lenteur de mes recherches, car 20 années de réflexion, c?est bien long ! Et puis je n?ai pas pu savoir ce qu?était devenue ma bisaïeule maternelle, Marie Joséphine Florentine Challange, pendant plus de 40 années. Au cours de cette étude, le changement de configuration micro-informatique (passage de l?Apple II E « dopé » appartenant à mon fils aîné à un Packard Bell multimédia, ouis à un HP Pavillon) m?a amené à réaliser 3 rédactions successives. Et l?obligation de prendre des prises de vues de toutes les pièces d?archives qui m?intéressaient m?a certainement fait perdre des informations pertinentes. Le travail en solitaire, même aidé par mon épouse quand cela fut possible, est devenu de plus en plus fastidieux.

Quels ont été mes temps forts ? Le premier fut sans aucun doute la découverte du lieu de naissance de Marie Joséphine Florentine Challange, car on ne savait pas d?où provenait son fils, mon « grand-père » ! Je citerai aussi, pêle-mêle, la « trouvaille » du moulin de la Fosse sur la rivière d?Eure, les premiers contacts avec le Bourg l?Evêque de Sées et sa cathédrale, l?appréciation de ce qui reste des épais remparts de Bellême, la découverte des armoiries des « Chalenge » dans l?église Notre Dame de Louviers, la visite de l?ancienne cité de Montferrand, la découverte de la cathédrale de Rouen. Cette étude ne pouvait être menée qu?à Paris, où je fus en activité pendant les dernières années de ma carrière militaire. Il eut été impossible de la réaliser ailleurs. On y a bien voulu me permettre l?accès à la Bibliothèque Nationale et aux archives Nationales, grâce à mes nombreuses « peaux d?ânes » ! Bref, cette recherche a été manifestement le temps le plus fort de ma vie intellectuelle, où j?ai pu répondre aux interrogations de mon enfance, y apportant enfin des réponses constructives et inédites. Que dire d?autre ? L?essentiel peut-être ! Ce fut un dépassement de ma propre personne pour atteindre des hauteurs inconnues mais vertigineuses. J?ai au moins constaté que la providence nous a favorisé dans notre espace mérovingien, carolingien puis capétien, à l?extrémité occidentale de la péninsule européenne. Que vaut notre propre vie terrestre face à ce constat, et qu?est-ce qui perdure après notre passage dans le monde ?

Resumos Relacionados