Complot Brutal
(Fiora Misticu)
Un homme quitte son appartement pour rejoindre sa maîtresse. Un clin d'oeil à glace de l'assenceur le rassure. Son visage s'illumine de joie.Quarante ans, pas une rideet toujours élégant. Quelques étages plus haut, une jeune femme brûle d'impatience l'arrivéede son amant. Le voilà, ilsourit avec un regard attirant et l'attrape par la taille, la serre fermement contre lui. Elle eut subitement, un sentiment de faiblesse.
- Dumè... mon amour, tu m'a manqué, tu sais ça ! Je renais à la vie de chacune de nos rencontre... tu me surprends de jour en jour et ça me plait.
- Tu es la plus ardente maîtresse que je n'ai jamais eue, lui-assure Dumè avec une sincérité dont elle n'a jamais douté.
Il se montra lui-même, un amant incomparable. Il a parfois l'impression que pour ellle seule, il a inventé des mots nouveaux. Il sait émouvoir son corps et ses longues jambes élancés et divins.
Une bouffée de chaleur s'installe sur les joues de Francesca. Ils se laissent tombés sur le sol, enlacés et épris l'un de l'autre. Il s'embrassent longuement sans manqués de souffle... Là, ce fut le coup de foudre total...
- Je te sens, tu es chaude, tu tremble, tu bouge bien... tu m'exite...maintenant, glisse vers moi... peu de temps après, elle se laisse glisser verslui...
- Oui, continue... continue... encore... encore... plus vite... plus vite...
Arrivé à ses fins, Dumè respire un bon coup; puis il cria:
- Je t'aime... je taime... tu sais toi !
- C'est encouragent, parce que moi aussi je ressens ça, et même plus encore !
Elle parvient soudain à réaliser que Dumè à quarante ans, célibataire, et très séduisant. Il appartient à ce genre d'individus mâles, actifs comme des chauds lapins, qui finissent par ne plus s'en lasser...Antonio, son mari, lui, s'occupe d'une grande entreprise. Il passe le plus clair de son temps en déplacement sur la Corse entière, comme en ce momen où il est à Bastia.
Soudain, le téléphone sonne... encore... encore... puis encore...
Francesca répond enfin ! d'une voix tremblante... oui, oui, allô !
- Francesca, c'est moi, tu vas bien, pourquoi as-tu mis un temps fou pour répondre !
- Oh ! chéri, j'étais juste sous la douche ! tout va bien pour toi, j'espère ?
- Ecoute, je n'ai pas beaucoup de temps, je voulais seulement prendre de ted nouvelles... Je te rappellerais plus tard... Je t'embrasse au revoir...
- Bien au revoir, je t'embrasse aussi à plus...
Francesca se doutait bien que son mari finisse par la rappelé. C'était rassurant de le savoir encore là-bas, pense-t-elle...
Le visage de Francesca s'illumine de joie de vivre, sa chevelure s'en mêle de toute part, sa bouche sensuelle recherche encore les plaisirs des sens. Ce qui fini par l'envahir, une fois e plus dans les bras de son amant...
Francesca se laisse caressé par son bien aimé, lentement de toute part, elle se sentit aux anges. Dumè la dévore de baiser et de tendresse, il est fou d'elle...
- Francesca, Francesca, tu me rends fou, je t'aime, je t'aime... Je voudrais passer ma vie entière avec toi !... tu veux bien !
- J'aimerais beaucoup vivre avec toi !... Mais, il ya mon mari, je ne peux pas le quitter comme ça. Il faut que je sois très prudente, sinon se sera fini pournous deux...
Dumè semblait boulversé de cette allusion, l'émotion l'avait emporté, les désirs envoutés etr l'amour uni...c'était comme s'il s'éloignaiot du monde, un peu comme dans les films sentimentaux. Malgré son comportement insencé, il allait un peu trop loin, trop d'un coup et trop sûr de lui... ce qui a fait que provoquer une agitation passagère causer par un sentiment intense...
Francesca fut émue et troublée par sa conduite,et ne sut plus quoi dire, elle frémit de crainte et d'angoisse, tout à coup...sans savoir que les conséquences pourraient être catastrophique.
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