Resumo de La Visite

La visite Quand la grande mère se décuplait pendant des semaines c?est quelle devrait répondre à une des coutumes imposées liant les familles par le mariage. La plus importante et onéreuse c?était la prise en charge des naissances, viennent ensuite les fêtes et les maladies.La préparation de la visite à l?occasion de la naissance de son premier enfant dans sa nouvelle famille apportait d?abord le degré d?assurance de la pérennité du mariage. Le garçon du deuxième lit constituait un ciment entre elle et son mari beaucoup mieux que si ça aura était une fille, l?égalité des sexes était un tabou.La mémé pour mieux se positionner faisait des pieds et des mains afin de réunir un maximum de victuailles, de vêtements, trois trousseaux, pour sa fille, sa belle mère et l?autre pour le bébé.Elle n?était pas libre de ses choix, limité dans le temps et par le manque de moyens elle ne dormait pas des nuits entières, .Elle se posait toujours la même question, es ce suffisant? Comme elle va être perçu à son arrivé? Le tracas le plus pesant était évidement la santé de sa fille unique bien aimée et du bébé. La visite est entourée d?un secret mystérieux, on ne se parle plus à haute voix au risque d?être entendu par les voisins, la charge ânière est soumise à l?omerta. La curiosité de Nedjd ne cessait de grandir jusqu? au jour ou sa grande mère lui souffla à l?oreille: on doit faire attention aux sortilèges qui risque de faire du mal à ta mère.La curiosité était satisfaite mais, ne comprenait toujours pas les moyens mis en ?uvres, trop important à ses yeux .Ainsi s?achève les préparatifs de la visite en attendant le jour «j». A la veille du départ, la vieille ne cessait de faire et de défaire Les foulards et les bouts de tissu quelle nouaient et renouaient pour revoir et mieux envelopper les produits réexaminait les ballots les uns après les autres. Cette nuit là était très longue, elle avait repassé tout les détails dans sa tête et se lamentait de la maigre contenance des sacs, elle lançait des grands ouf signifiants des moments angoissés. L?aube arrivait tardivement cette nuit là, la vielle plus ridée qu?avant se levait péniblement et recommençait le manège de la veille .La voisine en ce moment là met la barda à l?âne qui ne se laissait pas faire en lançant de grands braiements qui ont pu remettre la vieille dans ses états normaux de départ, la voisine frappait à la porte par politesse, abandonnait l?animal et repartait.Le chargement commençait par le placement des ballots sur les deux coté du chouari (deux sacs cousus et reliés entre eux pour les mettre sur le dos de l?âne) de façon méthodiquepour faire apparaître la charge consistante.Un dernier coup d?oeil vigilant du chargement, des lieux etde l?enfant pour décider s?il faut le mettre ou non sur le dos de leur transporteur, décision est prise il marchera jusqu?a mi-chemin de son gendre. Le chargement terminé la vieille le petit et l?âne se mettaient en route.

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