Ma Mer ( L ' Arum D 'un Flibustier )
(walro)
MA MER ( L ? arum d ?un flibustier ) Sur mon vieux galion , épuisé et meurtrit par tes vents . Qui convoitent mes avenants . Sur ta robe de voile brume , j ? écrirai les malentendus , Ou les captifs du temps périssaient sur les plages de goémons . De par mon hublot de MA cabine , je me sentis enivrer de leurs exiles de terres et d ?océans vierges , Qui seraient devenus blessures et morsures des mondes , Ou ton écume blanchâtre aurait moussé leurs âmes. Tes fonds de coraux exotiques tanguent encore mon c?ur en larmes . Tes souvenirs flottent sur les versants sablés , ou parcourt mes chemins d ?algues . De refrain de marins , mes souvenirs s ? évadent dans tes magnifiques vagues . Parfois , je guette , je scrute le reflet de ses milliers visages d ? ombres , sur ma vieille dague . Epuisé , brisé de croire aux visions de libertés renversées . Parfois dans mes rêves , je m ? échappe des arrosés . Comme un pauvre matelot d ? eau douce , Demain j ? irai inhalé les bas fonds de tes chimères . Ou je plongerai à corps perdu , dans ton eau amer . j ? entends les âmes donc les échos entent les vieilles barriques de roms , donc les chants errent encore dans les fonts cales de mon galion , ils chantent les drapeaux noir , sur des ancres rouillées . Dans ma cabine , j ?essai d ? écrire à la lueur d ?une bougie ses notes mouillées . Tes douces morsures aux vents salées, plongent mes grands yeux baissés , Dans des rêves et de certitudes perdus aux milles étoiles froissées . Chaque matin , tes marées recouvrent les empreintes des marins pressées . Ta houle ondule comme une sirène les cimes des bateaux . Cela rend les marins marteau . Le soir venu , au port , la mélodie de tes fonds défoulent les pas , des marins de leurs errances . Parfois , ils fredonnent des chansonnettes de flibustiers , sur le pont , Sur leurs compagnons de voyages , qui ont connus la potence . Au antipode les antres abritent l ? immense semence animal et de corail . Moi , je voudrais y cacher mes rêves d ?émail , Avant qu ? ils filent en écailles . Je préfère rentrer avec mon vieux galion au bercail le . Plus le temps passe . Je sens ma vieille carcasse se lasse . Mes compagnons de voyage le voient très bien de par ma démarche de tortue . Toutes ces slaves du temps me torture . Oh mer, quand vient le couché , ton souvenir s ? éloigne comme une envole de papillons . il fut naguère que mon âme de flibustier flottait sur des pavillons .
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