Carla D.:princesse Des Fleurs
(michelle akon)
Ce fut une matinée de printemps aux environs de neuf heures que j?arrivai à Dreamtown ; la cité des rêves ! Je n?avais dis à personne de ma communauté que je m?en allai ; la plupart auraient versés des larmes de tristesse. Ils furent ainsi lorsqu?on les annonçaient le départ d?un de leur Je ne voudrai surtout pas les voir pleurer ni les faire pleurer, et puis, je fus assez discrète en ce qui concerne ma vie privée. Je pris tous ce que je possédai- en fait mes affaires suffisaient dans une valisette Le taxi me déposa à l?entrée de la belle cité de Dreamtown Enfin ! J?avais pris un taxi ! Malgré qu?il fut cher ! Trois dollars et quatre cents ! J?avais toujours rêvé de monter dans l?une de ces maisons avec des roues noires. La ballade en voiture fut superbe et le chauffeur roula doucement ; quoique j?aie demandé car au début j?eus un peu peur de monter dans sa voiture. Je fis mon entrée dans la cité un peu stressée. Tant de belles maisons me donnaient la frousse Dreamtown fut l?une des villes les plus riches et moins peuplées du coin. Située sur une colline et une vallée, elle s?étendait à plus de dix kilomètres Elle fut très différente de mon ancien quartier ; propre, belle, calme ; avec de bonnes routes. Il n?y avait pas de mendiants, pas de misérables ni de cabanes. La plupart de maisons furent des villas : de grande maisons blanches et d?autre bleues comme le ciel. Ce fut magnifique ! La cité ne possédait pas de marché de viande,ni de salades ou de marché périodique, non ; mais plutôt des supermarchés et de grandes boutiques . Des bars et restaurants ornaient les abords des rues. Ce fut ma toute première fois de voir ceci et devant un tel spectacle, je ne pourrais qu?admirer A quelques pas seulement du grand Hôtel Kingsley, se trouvait un parking de voiture et près de cela, un jardin publique où je me perdis dans la contemplation des fleurs : des roses anciennes, corbeille d?argent , des orchidées, des dahlias, l?hibiscus , des roses rouge. Ma contemplation et admiration se firent ressentir car un jeune homme d?une vingtaine, blond, grand, portant un pantalon jean bleu sale et délavé, une chemisette kaki très sale avec un bonnet noir s?approcha respectueusement vers moi en souriant. Il fut tellement sale qu?on aurait du mal à croire qu?il eut une peau blanche ! Et lorsqu?il sourit, je vis qu?il eut de belles dents blanches bien rangées ! Quelle différence avec ses vêtements ! -Bonjour madame. commença t?il se pliant en deux pour me baiser la main en parfait gentleman Je fus flattée, heureuse et? aux anges !
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