Rue De La Limite
(Mohamed , El jerroudi)
Le 12 Aout 2003,à 2 heures du matin je me promenais dans les rues de Liège,apres avoir passé toute une journée égaré au milieu d'une immense foule qui célebrait Le centenaire de l'écrivain Jeorge Simenon. La nuit était douce.Le silence etait mon seul compagnon.J'étais loin du centre ville. Quand la fatigue commença à m'envelopper de son poid:Jai décidé de rentrer chez moi pour me reposer un peu .J'étais tout pres de l'appartement de mon fils situé dans une rue male eclairées.Je voulai presser le pas qand soudain je trébuchai sur un corps allongé à même le sol. Une grande stupeur me coupa le souffle. J'ai tout de suite pensé à un assacina.Je me prêtai à prendre la fuite ,quand la personne qui gisait par terre me tendit sa main et prononça des paroles incompréhensibles. Je repris vite mon courage et je m'approchai : elle étai une femme l'alcool qu'elle a bu l'empéchait de se relever. - Madame faites un effort ne restez pas ici. Vous risquez d'être agressée! Lui dis-je. Elle me regarda et me dit tout en essayant de caher son ivresse. - T'es un arabe? -Oui je suis arabe. - moi aussi je suis marocaine d'origine liègeoise de naissance et toi? -Marocain. Elle me supplia de l'aider de monter jusqu'à son appartement car elle a su que je suis le père de son voisin.Arrivé au 3ième étage,elle me donna la clé. Elle avait un salon en désordre .Il y avait des bouteilles de vin partout à tel point que je ne savais pas où mettre le pied. Je l'allongeai sur un fauteuil.Elle me désigna une chaise et me pria de rester un moment .Moi j'etais maladroit je ne savais quoi faire, quoi dire...De temps en temps je posai un regard sur un coin du salon ,sur la dame.Elle sasit une bouteille de vin et remplit deux verres .J'avalai le mien d'un seul trait. Elle m'en donna un autre en souriant. Au quatrième verre j'ai senti une chaleur douce traverser mon corps. Sur le mur une photo d'un adolescent attira mon attention. - C'est ton fils ? lui demandai-je. -Oui mon fils et mon frère à la fois. - Quoi? -Oui je l'ai fait avec mon père. Asa declaration j'ai senti que le plafond allait s'ecrouler sur ma tête.Je pris en hatte mon paquet de cigarettes et me dirigeait vers la sortie. Une fois dans le couloire je l'ai entendu pousser des cris. Elle pleurais si fort ... Je me suis engoufré dans l'appartement de mon fils , j'ai pri une bouteille de wisky et j'ai commencé à boir .Je me rappellai plus à quel moment j'ai perdu consience. Le lendemain une cacophonie me réveilla en sursaut.Je suis sorti pour voir de quoi il sagissait. En face de moi la dame de la veille me souriat .De sa bouche coulait du sang à flot .Des infirmiers essayaient de la mettre sur un brancard. Elle les repoussa et déscendit jusqu'à l'ambulance. Avant d'y monter elle nous regarda et ouvra sa bouche.Elle avait la langue coupée à moitié.Moi qui savait son histoire je compends maintenant pourquoi elle s'est mutilée.C'est pour ne jamais parler de son fils qui est son frère . Un polcier qui grifonnait sur un bout de papier, demanda je nom de la rue. -RUE DE LA LIMITE . Lui répondit un garçon qui resseblait beaucoup à celui que j'ai vu la veille sur la photo... Mohamed El jerroudi
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