Resumo de Un Invité D'honneur

Gordimer a écrit un testament politique dans son invité d'honneur que c'est un long, spacieux, complet travail de la fiction. Il a tous linéaments d'une histoire traditionnelle. Il est insouciant et détaillé dans le récit, et mélodramatique dans sa fin. Il est approfondi et superbly réussi dans son évocation de paysage et de fond. Il n'y a aucun nier le fait qu'il manque de l'énergie agitée et au loin-a battu le sondage psychologique de beaucoup de fiction courante. En fait, il y a quelque chose de olympique, quelque chose magnifiquement confiante de la manière de laquelle cet auteur sud-africain se met à son travail. Sa certitude calme camoufle la facilité avec laquelle elle manipule les nombreuses rives dans son histoire et les rapports impliqués de elle parcelle de terrain.
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un invité d'honneur un roman politique clairvoyant et persuasif qui défie l'histoire elle-même. C'est travail politique parce que les figures principales pensent et agissent à la lumière de leur politique. Il est exempt de douceur romantique et sentimentale de cela qui a fait l'homme de l'A. du boulon de Robert. pour tous les saisons et Becket de Jean Anouilh de tels échecs remarquables. Comme dans le destin de l'homme de Malraux, et l'obscurité de Koestler à midi, la fascination du livre dérive du jeu dialectal de ses idées. Notre sympathie pour ses personnes est directement proportionnelle à l'appel de leurs arguments. Il n'y a aucune canaille délibérée dans elle, seulement des vérités puissantes examinant pour voir si leur heure est venu. Le
son thème est classique : la destruction des idéaux révolutionnaires une fois que la révolution a été effectuée ; l'étranglement de ceux qui veulent que la révolution sociale soit une partie essentielle de la politique ; le dilemme du outmaneuvered excepté qui ne voir l'aucun cours pour révolter contre la révolution ils a aidé à provoquer. C'est un thème vieux dans l'histoire et aussi récent que les nouveaux Etats africains dans lesquels son roman est placé. le braillement d'Evelyn James de
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est le caractère central et a une histoire curieuse. Un administrateur colonial britannique, braillement néanmoins a été activement impliqué dans le mouvement de liberté des noirs. Maintenant à l'heure de l'indépendance, il est invité en arrière par le président nouvellement choisi de la république nouvellement établie. le
Adamson Mwete de
, un chef flamboyant et populaire est le président et comme symbole de l'Afrique ranimée, se déplace littéralement de la cabane étain-couverte qui était sa maison au palais présidentiel et déplace son attention de l'individu aux soucis de l'état. Broyer les notices qu'Edouard Shinza, l'homme qui travaill dans le harnais avec Mwete en fixant la liberté pour la colonie, est absent. Il était un intellectuel finement dessiné et un organisateur pratique, un homme et un théoricien de raisonnement mais on voulant effectuer le travail de cosse pour lequel d'autres prennent le crédit. Le braillement apprend que l'indépendance, loin de réunir les hommes dans un moment de triomphe, a seulement élargi l'espace entre eux. Mwete vit dans le splendor colonial ; Shinza retraite au buisson, aux mêmes conditions scrubby qu'il a supportées avant. Le
ceci est l'exposition extérieure des différences qui sont cruciales et fondamentales. Mwete veut le progrès pour le pays, pas pour n'importe quel segment dans lui. Shinza veut améliorer les vies du peuple. Le président, par exemple, a signé un contrat avec les compagnies d'exploitation d'appartenance étrangère qui donne une plus grande part des bénéfices à l'état, mais garde les salaires des mineurs au même niveau. Le
l'agitation des mineurs remue les syndicats et les chefs qui les commandent. Une fois que ces syndicats avaient fait partie du mouvement populaire pour l'indépendance sans perdre leur fonction comme véhicules pour les réclamations des ouvriers. Maintenant le président veut qu'ils deviennent des ageniers en place. Le
la vieille partie de l'indépendance devient une organisation paramilitaire pour mettre en application la décision du chef d'Etat. Une loi répressive de détention est passée. Les hommes de la richesse maintiennent leurs privilèges, et lentement la nouvelle république devient une avec l'empire. Le pauvre fermier, le salarié à l'usine de poisson-séchage peut à peine distinguer le nouvel ordre du vieux. Les logicevents ne s'arrête pas là. Des hommes et les mouvements sont poussés dans une convulsion de violence et de terreur, et dans une ironie finale, le président se tourne vers la Grande-Bretagne, le pays qu'il a évincé, pour envoyer des troupes pour maintenir l'état elle a juste libéré. Le
un tel résumé peut sembler ramener ses caractères aux robots dans l'histoire. Ils sont, au contraire, excessivement humain : compliqué, errant, et conduit par des appétits charnus et par les résolutions les plus élevées. Et elles sont un sort divers : Indiens craintifs effrayés de joindre l'un ou l'autre côté ; fonctionnaires petits qui veulent rester hors du conflit ; colons blancs attendant leur occasion ; les innocents se sont rattrapés par des vents de changement. Et tous se déplacent un paysage si tactile et si sensuel que ce va bien à un participant à tout qui se produit. L'histoire prend des attributs humains dans ce travail mûr et entièrement réalisé.

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