Mars Six (1)
(jean-françois joubert)
Depuis, des lunes ils observaient cette boule bleu, un mystère. Comment vivre, sous cette chaleur ? L'enfant ôtait, ses lunettes. Il avait décidé, un jour il trouverait. Son père le tira de son sommeil, et en arrière, une bulle d'azote se dirigeant vers eux, deux. Heureux, de respirer ce gaz, ils entendaient les chants de l'atmosphère se combler. La balade se terminait, ils rentraient, sautant de cratères en cratères, vers la ville. Ce lieu, où vivait, le reste de la tribu. L'enfant fermait encore ses yeux, tout ce bleu, il pensait à sa mère.Personne ne devait connaître la trame de son secret, les rêves trop fous n'étaient pas supportés. Son père riait, il ignorait tout des songes, du petit. Lui, quand il voyait la terre, son corps tremblait, l'enfer se dessinait. Tout ce bleu, il ne pouvait l'affronter. Le vent de l'Est se levait, les cerf-volants s'agitaient, petits et grands, s'amusaient à être tiré par ces courants d'airs. Le jeu et la joie, nourrissait l'atmosphère de certitudes, sur Mars, seul une couleur existait, le rouge. La couleur de la paix. Nul n'ignorait, ici, que le bleu détruisait la vie, mais qu'il était le champs de lumière universel. Sans cette astre ridicule, la vie, ne pourrait exister. Les savants avaient même calculé son temps de vie, et le résultat était un désastre.Alors, que durant de millions d'années, tout le bleu courai tdans l'espace arroser de ses faisceaux, les terres de sables. Cette lumière, source essentielle de chaleur, et de vie, perdait de sa lueur, et cela, en si peu d'année. Voilà, pourquoi,l'enfant voulait s'y poser ! Las de comprendre, que ses frères et soeurs de sang, allaient s'éteindre dans si peu. La vitesse, où l'intensité de la planète mère perdait sa lumière n'avait plus de sens, plus aucun calcul ne tenait la route. Aaron avait ce don de s'inviter dans les pensées,ce qui lui avait permis d'inventer le téléportation, ily travaillait depuis deux années. L'anti-matière. Quand dehors, les autres jouaient, lui, il s'isolait. Son corps, son coeur,ses sens, son sang, quatre éléments à contrôler.Au départ, ce n'était pas facile, se cacher, et se troubler quand sa pensée arriver à séparer ses éléments, et puis l'extase, la transparence. Une délivrance, pour lui, et pour son peuple, l'enfant ignorait combien de temps, il lui faudrait pour descendre jusqu'à l'enfer. Le vent affolé les aînés, Aaron, lui, était décidé, demain, il quitterait sa Mars natal, près à affronter l'odeur de miss-terre, l'eau cyan.
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