Resumo de Un Code Codé Pour Une Famille Décodée (suite 04)

suite 04
Ce dit code de la famille tel qu?il est interprétait par les juges reste moins clément que le triangle de Bermudes lequel ne veut plus rien dire devant le labyrinthe que forme ce que les uns appellent «code pénal » ou ce que d?autres appellent la réforme de la justice pour une justice indépendante et transparente... (Oui indépendante pour la liberté de la corruption et transparente dans l?injustice?) (Pour m?assurer de ce que j?écris j?ai bien assisté à certains procès (dans quatre wilaya deux du nord et deux du sud) où il m?a été donné de constater que le bourreau devenait victime et la victime devenait tout simplement le bourreau à condamner et ce malgré tout un défilé de témoins à charge avec un expert par-dessus le marché?) (Faites moi grâces du déroulement bien public du procès avec autant le représentant du ministère public, du juge et des avocats et je vous ferais don de ce qui suit dans les coulisses?)
Ce dit code tel qu?il est interprétait reste la légalisation de l?adultère tant moral que physique ce qui est contraire à ce que certains avancent comme issu de la religion et de la civilisation à moins que cette religion à deux lectures bien différentes l?une de l?autre mais tant que ce n?est pas le cas, que les dicteurs et ceux qui ont cautionné sachent qu?ils auront à répondre devant dieu? Je ne parlerai pas de la civilisation car elle est bien incomprise par beaucoup de législateur et de décideurs.
C?est vrai, un mot lancé de la bouche d?un politique peut ne pas avoir le sens que celui prononcé de la bouche d?un humble tel que moi. Mais un verset ou un psaume n?a qu?un seul et unique sens auquel tout croyant s?accroche?
Faites moi grâce du sérieux des juges et des avocats et je vous ferai don de leur standing de vie par rapport au salaire qu?ils perçoivent? (Ils ne sont pas les seuls? La folie étant partout, la vertu reconnaît son gîte)?
Je ne remets rien en cause et je ne juge aucune loi et aucun ordonnateur et législateur et encore moins ceux qui ont cautionné et continueront de le faire pour certains désirs cachés. D?ailleurs que pouvons-nous bien reprocher à celui que nous venons de propulser ?

Je ne juge ni les coulisses ni leurs rôles aux profits des uns et aux désavantages des autres tant que les mémoires restent un simple mot utilisé à tort et à travers par les uns et les autres mais je dirai tout simplement « qu?être au service d?autrui comme bénéficier de la confiance d?autrui reste une perche tendu par Dieu » pour que l?heureux élu puisse se rapprocher davantage de la voie du salut ». Donc l?honorer, est une obligation divine et en même temps un devoir à respecter. (Oeuvrer pour le contraire un tout simplement un blasphème pire encore que celui accompli par le caricaturiste Danois et ceux qui détruisent les lieux de culture et ceux qui éventre les tombes.)

Seulement je pense qu?un bon citoyen chargé de gérer et de veiller autant sur les affaires courantes des vivants que sur celles de ceux qui viendraient rejoindre ce monde qui n?est plus ce qu?il fut, doit avoir un minimum de retenue.
Loin de tout passé et de toute histoire, la décence aurait imposée à défaut d?avoir des subordonnés conscients et fidèles à l?étique de la gestion au moins de placer des gardes fous à la hauteur de la sauvegarde de la grandeur de la nation laquelle (grandeur) ne peut et ne pourra exister sans le droit au droit ce qui sous entend la présence de l?institution pour le respect de la réalité tant sociale qu?économique afin que la défense de la famille n?épouse aucun conjoncture et ne soit sujette à aucune condition ou visée. Ceci impose bien la dépolitisation du sujet que les politiques ne pourront tolérer?
Des exemples, nous pouvons en citer autant que les uns et les autres peuvent nous exiger.
Les lacunes entre le code et les différents jugements suite au conflit n?ont d?égale que cette distance qui sépare le soleil de la terre ou encore les mémoires de leur reconnaissance en tant qu?ayants droit sur le présent?
Seulement, je pense que la sauvegarde de la famille ne passe pas par l?avilissement de l?homme comme il n?impose pas celui de la femme mais par l?égalité devant l?accompagnement et le traitement de leur existence?
a suivre

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