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Le Voyage À Ixtlan
(Carlos Castaneda)

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Vous avez surment tous dut entendre parler du livre du grand auteur Américain Carlos Castaneda intitulé "Le voyage à Ixtlan." Il est un livre culte chez tous les adolescents se cherchant encore dans la vie et ayant une culture élevé de mysticisme. Il est un peu l'alliage entre la nouvelle société Américaine, pré-mondialiste des années soixante et ce qui reste encore vivant des indiens Yaqui. En le lisant je me suis sentis emporté dans un Univers que l'on ne crorait plus existant où un jeune homme devait aller rencontrer un sorcier pour compléter sa thèse et qui dès les premiers jours où il rencontra Don Juan Matus, ce même sorcier, s'est retrouvé comme devant un mûr infranchissable de paradoxes. "Et pourquoi veux-tu que je te donne des renseignements sur les plantes médicinales autour desquelles tu effectues une recherche?". "Plus tard! Plus tard lui disait le sorcier!". "Les plantes que tu recherches oublie les sur le moments car j'ai beaucoup de choses à te dire!". Voilà en gros comment dans un livre profitable à toute personne ayant encore un sens de ce que le mystère du monde représente dans la vie d'un homme, un apprentissage profond sur comment un être doit réagir avec son environnement commence. Toute personne sensible tomberai au charme du voyage à Ixtlan car si l'on réfléchit avec précaution, il est vrai que l'on doit devenir chasseur dans la vie, assumer une totale responsabilité, être inaccessible, en fait revenir à nos sources mêmes et contempler comme la vie en elle-même recéle tant d'opportunités qui si l'on vient à n'être aucunement chasseur, on les manquerai toutes. C'est donc ainsi où la civilisation occidentale rejoint l'autre monde beaucoup plus pauvre qu'elle traine derrière elle, et qui inexorablement doit s'adapter à ce qu'elle fait, à comment elle conçoit l'existence. C'est donc cela le véritable thème du voyage à Ixtlan. Dans moi âme malheureusement il résonne un peu comme un chant funèbre. C'est tout comme si le sorcier Don Juan Matus capitulait devant cette société occidentale un peu trop ingrate pour le genre d'homme qu'il est et qu'il prodiguait à travers les conseils qu'il donnait à son apprentit les derniers souffle d'une sagesse que l'homme aura étouffée au berceau. Lorsque j'ai acheté le livre, le seul nom d'Ixtlan me laissa penser au bout du monde. Je ne savait toujours pas que c'était le nom d'une ville du mexique et je crois que lorsque l'on tient dans sa main ce livre en ayant à l'esprit qu'Ixtlan se trouve bien loin de là où l'on se trouve, la lecture du livre de Carlos Castaneda ne sera jamais décevante.


notez moi svp cela ne prend que quelques secondes



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